Le quinquina

Depuis des années utilisé par les incas, son écorce est vite rentrée dans leurs boites à pharmacie.

Ce fût une des premières plantes dont le principe actif fût isolé.

Son arbre peut atteindre jusqu’à 30 mètres de hauteur.

 

Il est très présent dans la cordillère des Andes, il aime les pays chaud, il est bien cultivé dans des pays tels que le Sri Lanka, le Cameroun , l’Indonésie…

 

Ses fleurs sont souvent blanches sous forme de grappes mais peuvent aussi être rose ou beige.

 

Il possède de grandes feuilles.

 

Il y a plusieurs variétés avec des écorces de couleur différentes qui peuvent être jaune, grise ou rouge.

 

La substance qui en est extrait est la quinine.

 

La quinine est utilisée comme traitement de prévention le paludisme et dans certains cas dans les troubles digestifs, les grosses crampes musculaires et certains états de fatigue.

 

Elle agit comme blocage de nombreux processus métaboliques, c’est pour cela qu’il faut être extrêmement vigilant et que les médicaments à base de quinine ne sont prescrits que sur ordonnance médicale.

 

Elle est très allergène, elle peut provoquer des problèmes cardiaques, des vertiges, des hypoglycémies, des maux de tête et des nausées.

 

Elle peut être toxique pour le système nerveux, il faut donc être très vigilant.

 

Le quinquina stimule l’appétit.

 

Il est efficace contre la fièvre, c’est pour cela qu’il a longtemps été utilisé contre le paludisme.

 

Il est quelques fois utilisé contre la grippe ou le manque d’appétit.

Le quinquina fût un des premiers principes actifs en homéopathie ainsi naquit « China officinalis ».

 

La quinine est utilisé dans une boisson le « schweppes tonic ».

 

Depuis quelques mois on entend beaucoup parlé du principe actif du quinquina puisqu’il entre dans la fabrication de médicaments « à base de chloroquine ».

 
 
 
 
 
 
 
 
Last Modified on 12 octobre 2020
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