Le lendemain on remet encore à plus tard « la semaine prochaine j’arrête ! » bien sur que je vais y arriver, j’arrête quand je veux !
C’est souvent le discours d’un fumeur qui aimerait arrêter mais qui n’a pas encore eut le déclic de se dire, aller j’arrête où aller je vais me faire aider à arrêter, il n’y a pas de mal à demander de l’aide, bien au contraire, une personne spécialisée vous donnera les outils pour combattre cette addiction.
Arrêter de fumer peut-être compliquer sur le plan physiologique autant que sur le côté psychologique. La nicotine au fil du temps va mimer puis remplacer l’action de l’acétycholine.
Notre corps est conçu pour contrôler l’acétylcholine qui fait partie des neurotransmetteurs, mais il n’est pas en mesure de contrôlé les effets de la nicotine.
Le pouvoir de la nicotine est que contrairement à l’alcool elle a deux fonctions : – Consommée en quantité limité elle peut être relaxante – Consommée de façon un peu plus intensive, elle va être stimulante
Cela ne veut pas dire que pour autant elle soit bonne pour notre organisme, mais elle laisse paraître être la solution à tout outre ses effets délétères sur la santé, cancer, pathologies respiratoires, digestifs, cardio-vasculaires, psychiques…
Le fumeur augmentera sa consommation au fur et à mesure que le fumeur s’adonne à son activité, il ressentira l’effet stimulant. Une fois que la nicotine s’abaissera dans son organisme le fumeur ressentira de la relaxation après la stimulation, c’est un cercle vicieux.
Le fumeur va donc rechercher à reproduire cette sensation, encore et encore et fumer toujours un peu plus et ne plus s’empêcher d’avoir accès à cette état, un besoin d’activé le circuit de la récompense.
Je t’aide à arrêter de fumer avec la pnl, l’hypnose et les neurosciences.
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